L’absence d’espaces verts dans les grandes villes ne signifie pas seulement un impact négatif esthétique et social, mais ça porte aussi à augmenter la température de l’air à travers l’effet « d’îlot thermique urbain » (UHI – Urban Heat Island).
Avec l’imagerie thermique, on voit que des zones bâties absorbent plus soleil que des zones vertes, en agissant comme des entrepôts de chaleur. Une fois libéré, cette chaleur augmente la température, comme aussi la consommation d’énergie pour les systèmes de climatisation.
Les toits verts créent des espaces végétalisés sur les toitures des bâtiments en aident à réduire l’effet UHI, grâce aux cycles d’évapotranspiration des plantes.